Bien sûr, si j’avais un mari qui assumait sa tâche comme il faut, j’aurais pas à écrire cette annonce. Parce que, oui, je suis à Nantes et je suis en manque. Et pas qu’un peu. À un point où c’est limite clinique. C’est pour ça, je me prescris quelques dizaines de centimètres de bite pour un peu me médicamenter, parce que j’en ai grand besoin.
Bien sûr, je ne pense pas qu’à moi. Je pense aussi au petit chanceux qui va avoir la chance de me fendre à coup de jonc et laisser libre cours à ses désirs. Oh que oui j’y pense… et ça n’arrange pas mon état de manque.
Mon adultère, c’est quasiment une prescription médicale. Alors, allons jouer au docteur si vous le voulez bien, mais sans les préliminaires, parce que là, je tiens plus. Si vous sentez le besoin de vous porter à mon secours, n’hésitez pas, contactez-moi même. Vite !